Espace d’exposition dédié à la photographie
Créé en 2009, le Kiosque est depuis 2015, un espace culturel exclusivement dédié à la photographie. Carrefour d’échanges et de rencontres, sa vue imprenable sur le bassin à flot lui permet de créer du lien avec la population locale, scolaire et touristique.
Chaque année, Le Kiosque accueille quatre à cinq expositions, en entrée libre.
La vocation du Kiosque est de diffuser à Vannes le travail de photographes renommés mais aussi de favoriser la création artistique à travers des projets inédits.De grands noms de la photographie tels que Robert Doisneau, Vincent Munier ou encore Sabine Weiss, ont ainsi pu être présentés au public ces dernières années.
Le saviez-vous ?
D’une superficie de 150 m2 exploitable et totalement modulable, l’espace permet de créer pour chaque exposition une scénographie spécifique.
Près de 130 000 visiteurs, ont été accueillis au Kiosque au cours de l’année 2019.
Médiation Culturelle
La médiation au Kiosque repose sur une volonté de démocratisation culturelle, un accès au savoir pour favoriser la réussite éducative des jeunes et l’intégration sociale de public en situation de handicap.
Plus largement, permettre d’éveiller le jeune public à la culture au travers de moyens ludiques adaptés à leur âge.
Depuis avril 2019, nous proposons régulièrement des visites guidées. Elles permettent d’enrichir la découverte de l’exposition par un complément d’information en relation directe avec le photographe et le sujet de l’exposition.
Pour les enfants, un livret intitulé « mon journal d’explorateur » est mis à disposition, afin de découvrir l’exposition à l’aide d’un support ludique.
Exposition du moment
Instantanés & fulgurances - Gilles Caron
En partenariat avec la Médiathèque du patrimoine et de la photographie et la Fondation Caron, la ville de Vannes consacre une exposition à l’œuvre de Gilles Caron.
« Gilles Caron : Instantanés et fulgurances » propose de redécouvrir la brève mais extraordinaire carrière d’un photographe qui a marqué l’histoire du photojournalisme. Après une période consacrée à la photographie de mode et aux stars de la politique et du showbiz, Gilles Caron intègre l’agence Gamma en 1967. Guerres des six jours, Vietnam et du Biafra, Mai 68, émeutes de Londonderry... Il a couvert les évènements majeurs de son époque et fait la une de nombreux magazines d’actualités. Disparu à l’âge de 30 ans, il laisse derrière lui une œuvre remarquable toujours vivante.
Projection
Dans le cadre de l'exposition "Gilles CARON : Instantanés et Fulgurances" présentée au Kiosque, la ville de Vannes propose la projection du film « Histoire d’un regard » de Mariana OTERO
Mercredi 20 novembre à 18h00 au Palais des arts et des congrès de Vannes.
Documentaire (2020) 1h33min
Gilles Caron, alors qu’il est au sommet d’une carrière de photojournaliste fulgurante, disparaît brutalement au Cambodge en 1970. Il a tout juste 30 ans. En l’espace de 6 ans, il a été l’un des témoins majeurs de son époque, couvrant pour les plus grands magazines la guerre des Six Jours, mai 68, le conflit nord-irlandais ou encore la guerre du Vietnam. Lorsque la réalisatrice Mariana OTERO découvre le travail de Gilles Caron, une photographie attire son attention qui fait écho avec sa propre histoire, la disparition d’un être cher qui ne laisse derrière lui que des images à déchiffrer. Elle se plonge alors dans les 100 000 clichés du photoreporter pour lui redonner une présence et raconter l’histoire de son regard si singulier.
En présence de Louis Bachelot directeur de la Fondation Gilles Caron.
Gratuit. Sur réservation au 02 97 01 62 27.
Précédentes expositions
Allez jouer ailleurs ! Fred Montagne
À partir du 20 juin jusqu'au 15 septembre 2024, explorez l'univers du skateboard à travers les clichés en noir et blanc du photographe Fred Mortagne, qui capture l'énergie et la passion de ce sport urbain.
Fred Mortagne, connu sous le pseudonyme de French Fred, est un photographe autodidacte originaire de Lyon. Sa passion pour le skateboard a débuté à l’âge de 8 ans et le guide depuis plus de quatre décennies. Initialement captivé par les vidéos de skateboard, il a réalisé ses premières productions au début des années 90, mettant en lumière la scène lyonnaise.
Par la suite, il a travaillé avec les meilleurs skateurs mondiaux en Californie, créant plusieurs vidéos devenues mythiques. Cherchant à équilibrer cette approche visuelle axée sur la performance et le marketing, très influencée par la culture américaine, il s’est tourné vers la photographie. Cet outil lui a permis d’exprimer une vision plus personnelle et singulière, qu’il développe depuis 20 ans.
Plus d'informations
Manon Lanjouère - Les Particules, Le conte humain d’une eau qui meurt
Du 29 mars au 26 mai 2024
© ADAGP Paris, 2023, Manon Lanjouère, Les Particules, Asterionellopsis glacialis, 20x20 cm, cyanotype sur verre et émulsion vinylique fluorescente.
© ADAGP Paris, 2023, Manon Lanjouère, Les Particules, Tubularia indivisa, 20x20 cm, cyanotype sur verre et émulsion vinylique fluorescente.
Plongé dans des espaces intimes, physiques, ou métaphysiques, le travail pluridisciplinaire de Manon Lanjouère interroge nos imaginaires et révèle un séduisant alliage de sciences et de poésie. La recherche scientifique est souvent le point de départ et la source de ses projets. Les photos, sculptures, assemblages de ready-made, maquettes, collages, archives, écrits poétiques, qui façonnent ses installations sont autant de recherches scientifiques que d’artifices.
Une histoire insolite est à déceler sous des images fabriquées, des indices, des mots qui invitent à la réflexion et la création de faux témoins révèle l’ambiguïté de nos perceptions pour mieux nous tromper. Elle souhaite ainsi réveiller l’énergie de voir, transformant le regard en une action claire et facile conduisant à une réelle prise de conscience. Le regardeur sollicité se fait alors chercheur en s’interrogeant sur la véracité des pièces et documents qui lui sont donnés d’observer. Sa participation est comme une clé de lecture. Active, elle nous permet de pleinement saisir les atmosphères qui émanent de ses installations.
Au cœur de sa création, la fiction joue un rôle central, car elle autorise à dépasser les limitations du réel observable pour trouver un point de vue nouveau d’où décrire le monde. Ses récits imaginaires et leurs dimensions merveilleuses se mêlent désormais aux images des progrès du présent pour faire naître une réalité encore non vue, proposant un voyage entre passé et anticipation. Les fictions deviennent un stimulus fondamental pour l’appréhension par les hommes de leur environnement. Derrière chaque histoire, la tentative de comprendre l’interaction entre le paysage et l’humain reste centrale.
Jazz Story 1954-1974 Dans les archives de Jazz Magazine
© Catherine Pichonnier. Anthony Williams à la batterie et Miles Davis quittant la scène, Newport, Etats-Unis, 1967.
Exposition: Jazz Story 1954-1974 Dans les archives de Jazz Magazine
Du 15 décembre 2023 au 10 mars 2024
Pour cette nouvelle exposition au Kiosque, la ville de Vannes met à l’honneur le jazz en écho au festival «Jazz en Ville» qui fait vibrer chaque été la cité des Vénètes.
À travers de nombreux clichés rares, extraits des phénoménales archives de Jazz Magazine et une sélection de couvertures emblématiques, l’exposition revient sur le premier âge d’or de ce mensuel culte qui fêtera en 2024 son 70e anniversaire.
Créé en décembre 1954 par Nicole Barclay, son mari Eddie et Jacques Souplet, Jazz Magazine a dès sa naissance mis en valeur la photographie. Portraits, instantanés live, moments d’intimité saisis en coulisse…: c’est toute une histoire qui défile derrière l’objectif des plus grands photographes, celle d’une musique vivante – et toujours d’actualité – qui n’a jamais cessé de s’inventer et de se réinventer entre la joie et la colère, l’hédonisme et le militantisme.
L'épaisseur du silence - Reza
Exposition L’épaisseur du silence du photojournaliste Reza au Kiosque
Du 1er juillet au 17 septembre
Célèbre photojournaliste, Reza parcourt le monde depuis plus de quarante ans. Incontestable témoin des soubresauts du monde depuis 1979, Reza est un correspondant de guerre, qui a choisi de devenir "correspondant de paix". Ses photographies, largement diffusées dans la presse internationale, témoignent de sa foi en l'homme et en son courage. Du Moyen Orient à l'Asie, de l'Afrique aux Balkans, les images de Reza savent capter les regards, la lumière et la mémoire des pays traversés…
En plus des images iconiques du photographe, l’exposition présentera un nouveau regard sur son travail, à travers des archives qui soulignent son rapport intime au monde choisies par Rachel Deghati, sa complice de vie.
RENCONTRE :
Le mercredi 20 septembre au Palais des arts et des congrès à 19h
Conférence suivie d'une séance de dédicace, en partenariat avec la librairie "Le Silence de la mer"
Entrée libre sur réservation
Visites guidées
En individuel
- Juillet
Tous les mardis à 11 h
Les samedis 15 et 22 à 10 h 30
- Août
Tous les jours à 11 h
Les visites guidées sont sans inscription, se présenter 5 min avant l’horaire à l’accueil du Kiosque.
Pour des raisons de confort et de sécurité, les visites sont limitées à 20 personnes.
Visites en groupe
Des visites guidées à destinations de groupes sont possible, merci de prendre contact directement à l’accueil du Kiosque ou par téléphone au 02 97 01 62 27 pour réserver votre créneau.
Jeu de piste
Pour les groupes, les familles ou entre amis, venez découvrir l’exposition de façon ludique. Sous forme d’un jeu de piste, vous aiderez Reza, à retrouver ses six photographies perdues au cours de ses multiples voyages et compléter ainsi les photographies de l’exposition.
- Pour les groupes
Tous les jours de 13 h 15 à 14 h 30.
- Entre amis ou en familles
Tous les soirs de 17 h 30 à 18 h 45.
Pour y participer, merci de vous inscrire directement à l’accueil du Kiosque, ou par téléphone au 02 97 01 62 27.
Le jeune public
Pour les enfants, lecteurs et non-lecteurs, un livret jeu est disponible à l’accueil du Kiosque.
Les scolaires
Le Kiosque propose des visites adaptées à tous les niveaux scolaires. Pour tout renseignement, merci d’adresser un mail à la médiatrice à l’adresse suivante : melanie.journeau@mairie-vannes.fr
Willy Ronis par Willy Ronis
Willy Ronis (1910-2009) est l’une des grandes figures de la photographie française dite « humaniste » avec ses confrères Robert Doisneau ou Sabine Weiss, exposée récemment au Kiosque.
Devenu reporter photographe en 1936, Willy Ronis mène de front commandes et recherches personnelles. Observant le monde, ses photos dressent une sorte de portrait à la fois intimiste et profond de la société et de l’époque. Elles constituent un immense travelling qui donne à voir, à comprendre et à aimer les gens dans l’ordinaire de leur vie. En plaçant l’homme au centre de son œuvre, en posant sur lui un regard optimiste et bienveillant, Willy Ronis n’en néglige pas pour autant de rendre compte de la dureté de l’époque, d’où ces nombreuses images sur le monde du travail et les luttes ouvrières, marquant son empathie et un engagement social qui perdure tout au long de son œuvre.
En France comme à l’étranger, de multiples expositions et publications, dont Belleville-Ménilmontant en 1954, livre culte auquel une salle entière de l’exposition est consacrée, ont jalonné le parcours de Willy Ronis, marqué entre autres par le Grand prix national des Arts et des Lettres, qui lui est décerné en 1979, et la grande rétrospective du Palais de Tokyo en 1985 célébrant la donation faite par le photographe de l’ensemble de son œuvre à l’État français en 1983.
Sa vie durant, il resta attaché à capter l’essentiel de la vie quotidienne des gens, fraternellement. Son engagement social et son intérêt à l’autre s’imposent, que ses clichés soient pris dans un cadre de chasses libres ou de reportages. Willy Ronis tint
à faire don à l’État de l’ensemble de son œuvre et c’est sa sélection commentée remise à l’État qui sert de fil rouge à l’exposition. La rétrospective proposée au Kiosque forme un portrait sensible et autobiographique de Willy Ronis.
Le fonds Willy Ronis et la Médiathèque du patrimoine et de la photographie
En 1983, Willy Ronis fit don à l’État de son œuvre photographique. Par ce geste, qui faisait suite à celui de Jacques-Henri Lartigue (1979) et précédait de peu celui d’André Kertész (1984), il ouvrait au ministère de la Culture une riche politique de collecte auprès d’auteurs-photographes. Willy Ronis confirma sa première intention par une seconde donation en 1989, puis par son testament en 2006. Il tenait à l’unité de ses archives : négatifs, planches-contacts, tirages, bibliothèque, correspondances, justificatifs de publications, agendas, notes, projets d’expositions et de livres, objets personnels forment un tout cohérent qui permet de contextualiser les photographies et de leur apporter le supplément d’âme que l’image seule ne saurait donner.
Le fonds Willy Ronis est affecté depuis 2016 à la Médiathèque du patrimoine et de la photographie (MPP), service à compétence nationale du ministère de la Culture qui conserve, d’une part, les archives des Monuments historiques et de l’Archéologie (9 kml), de l’autre, le patrimoine photographique de l’État (20 millions de phototypes).
Didier Goupy - Fondations
Portrait d'une forêt
Dans la forêt, Didier Goupy compose avec la graphie des arbres, les ombres colorées de verts profonds et de roses, fait remonter de la terre mouillée des bruns et des ocres, scintiller les reflets pointillistes des feuilles aux reflets d’or. De plus en plus l’image tend vers l’abstraction, gomme la frontière entre photographie et peinture, ouvrant ainsi des champs de liberté à l’interprétation.
Une lumière rasante, et les arbres deviennent une armée en marche. Des reflets sur une branche tombée, c’est un animal qui surgit. Réelle ou inventée, la forêt parle à chacun d’entre nous. Tout à la fois refuge contre les dangers et lieu des peurs ancestrales, des sombres terreurs, elle génère des histoires fantastiques. Au fi l des saisons, des verts éclatants dilatent
l’espace, des trouées de ciel bleu déclinées s’installent en une infinité de registres colorés. Les tapis d’herbes sèches, les mousses, sont autant de matières inscrites dans nos mémoires.
Inlassablement il confronte la pensée des philosophes, explore le difficile chemin de l’oubli de soi, « ne pas laisser la pensée
s’interposer entre soi et le geste ». Temps suspendu, temps d’éternité, c’est à cette condition que l’œuvre peut advenir.
Marie Françoise Le Saux
Historienne de l’art
Août 202
NICOLAS FLO'CH - INITIUM MARIS
Avec Initium Maris, Nicolas Floc’h nous invite au commencement de la mer, référence à l’étymologie du Finistère, la fin de la terre. A l’intersection de la science et de l’imaginaire, le méconnu paysage sous-marin se dévoile. Déambulons entre les laminaires, ces algues immenses, laissons-nous étonner par la sensation de texture et de mouvement.
De Saint-Malo à Saint-Nazaire, 70 sites ont été explorés en apnée ou en bouteille, et des photos saisies entre la surface et 50 mètres de profondeur, en lumière naturelle et au grand angle.
Le résultat est un témoignage brut du vivant, néanmoins poétique.
Le visible s’associe à l’invisible dans un bouquet de nuances fragiles. Au-delà de l’aspect esthétique, des typologies de paysages, c’est une incitation à questionner la pression des activités humaines et la résistance de ces milieux face au changement climatique.
Le projet Initium Maris est produit par Artconnexion et soutenu par la Fondation de France dans le cadre du programme « les futurs du littoral et de la mer ». Né en 1970 à Rennes, il vit et travaille à Paris, et enseigne à l’EESAB (Ecole Européenne Supérieure d’Art) de Rennes.
Ses clichés sont exposés en France et à travers le monde, Mar- Saint quay 2019 seille, Paris, Bruxelles, Moscou, Santiago, Osaka…
Franco FONTANA - Horizons
du vendredi 10 décembre 2021 au lundi 28 février 2022
"La créativité ne signifie pas photographier ce qui est, mais ce que nous imaginons qui soit. […] Le photographe découvre le monde à travers ce qu’il a en lui et en même temps il a besoin du monde pour le découvrir. Ainsi, libérez l’artiste qui est en vous et laissez cet artiste faire d’abord des photographies et pensez ensuite." Franco Fontana.
L'Italien Franco Fontana, l'un des grands maîtres de la photographie couleur, est à l'affiche du Kiosque du 10 décembre au 28 février. Né à Modène, près
de Bologne, en 1933, Franco Fontana possède un style qui n'appartient qu'à lui. C'est un spécialiste de la photographie de paysages naturels et urbains
dont la démarche s'apparente à celle d'un peintre non figuratif. Il ne cherche pas à montrer ou magnifier la réalité d'une situation ou d'un paysage, mais à extraire de cette réalité tangible des compositions géométriques et esthétiques qui, tout en étant bien réelles - car il n'y a pas de trucages dans son travail -
flirtent avec l'imaginaire. Franco Fontana résume parfaitement cette approche artistique quand il dit que « la créativité ne signifie pas photographier ce qui est,
mais plutôt ce que nous imaginons qui soit.» Franco Fontana, dont de nombreuses photographies ont été utilisées pour illustrer
des pochettes de disques et de CD, notamment celles du label allemand de jazz ECM à la fin des années 1970, s'est fait connaître dans le monde entier à la suite de la publication, en 1978, de Skyline, un livre qui a marqué l'histoire de la photographie.
Lors de sa réédition en 2013 chez Contrejour, le photographe et éditeur Claude Nori expliquait dans sa préface que Fontana s'était imposé à la fin des seventies, « non pas comme un coloriste de plus à une époque où il était d’usage de se livrer à tous les petits trafics technologiques et à l’utilisation abusive des filtres colorés, mais en tant qu’observateur soucieux de révéler au monde les tableaux vivants que nos yeux n’avaient pas encore perçus. Ces lignes du ciel, ces horizons tendus entre ciel et terre, ces couleurs subtiles ou tranchées effectuaient une synthèse visuelle inattendue entre la perception chromatique et la capacité incroyable de la photographie à divulguer la géométrie cachée de la nature. »
Bettina CLASEN - Fenêtre(s) sur tour
C’est une histoire de regards. Certains la considèrent comme une verrue. Pour l’artiste Bettina Clasen, elle est devenue un phare, cette tour (ex-)CPAM en voie de réhabilitation en immeuble de logements.
A ce travail photographique s’ajoute une série de petits films documentaires et poétiques.
Ce sont des échos d’une pluralité de voix et de regards (riverains, anciens employés de la CPAM, opérateurs du chantier) qui, comme une suite de fenêtres, s’ouvrent sur un même objet.
Space Utopia
L'artiste photographe Vincent Fournier présente une odyssée photographique de plus 10 ans qui dévoile les centres spatiaux et les observatoires les plus emblématiques et les mieux gardés du monde entier.